
En cette période de pandémie et de mesures de confinement, les déplacements doivent être réduits au strict minimum. Les voyages, quel qu'en soit le motif (professionnel, tourisme…) doivent être annulés ou reportés pour empêcher le COVID-19 de se propager de manière encore plus importante. Cependant, certains déplacements demeurent indispensables et ne peuvent pas être supprimés. Qu'il s'agisse de rapatriements, de récupération de matériel à fort enjeu (pièces détachées pour les usines, matériel médical…), ou de permettre le déplacement d'une personne clé, des solutions doivent être trouvées pour maintenir ces déplacements indispensables, sans risquer d'aggraver la situation sanitaire. Pour permettre cela, l'aviation privée est sans doute la solution optimale.
Pour lutter contre les conséquences de la pandémie de COVID-19, des déplacements demeurent indispensables
L'épidémie de Coronavirus (COVID-19) qui frappe le monde depuis plusieurs semaines, a complètement bouleversé les transports. Aujourd'hui, et plus particulièrement depuis les annonces du gouvernement ce samedi, nous devons nous attendre à un confinement total et potentiellement à une suppression pure et simple de tous les déplacements « non essentiels ». Pourtant, compte tenu de la situation et du maintien de l'activité économique, certains déplacements peuvent s'avérer indispensables.
Face aux mesures de confinement que nous allons devoir observer pendant plusieurs semaines, il est absolument indispensable de permettre la libre circulation des matériels et hommes-clés, dans un contexte de moyens de transport classiques extrêmement dégradés, et facteurs de propagation du virus.
Pour faciliter l’accès à l’aviation privée, OpenFly réduit le prix de son adhésion de moitié
Les vols privés peuvent être une solution efficace, tout en limitant les risques d’entrer en contact avec une personne contaminée.
La société OpenFly, plateforme permettant aux entreprises de réserver un avion privé ou de petite compagnie, a décidé de faciliter l’accès au plus grand nombre d’entreprises en divisant par 2 ses coûts d’adhésion.